Le projet

Primordium est né d’un besoin simple : faire les choses bien, avec des valeurs, et à notre image.

Dans un milieu exigeant, mouvant, parfois imprévisible comme celui du tournage, j’ai voulu créer une cantine mobile à la fois autonome, généreuse, exigeante, mais profondément humaine.

Ce n’est pas un “concept” de plus. C’est une façon de travailler avec soin, de nourrir sans abîmer, de participer à un collectif sans s’effacer ni s’imposer.

Ici, on a appris ce métier sur les routes, dans les forêts, les champs, les plages, dans la boue, la neige, ou en haut des montagnes. Pendant des années, on a vu ce que le catering pouvait être, et on a rêvé de ce qu’il pourrait devenir.

Une autre manière de nourrir

Chez Primordium, on pense qu’on peut cuisiner autrement.

  • Sans compromis sur la qualité, même au milieu de nulle part.
  • Sans trahir ses valeurs, même sous pression.
  • En prenant soin des autres, sans s’oublier soi-même.

On cuisine pour nourrir, mais aussi pour relier, pour apaiser, pour rythmer la journée d’un plateau. Avec des repas qui ont du goût, du sens, de la tenue, quelle que soit la météo, le lieu ou la fatigue.

Pourquoi “Primordium” ?

En biologie, il désigne ce qui commence à peine, ce qui n’a pas encore pris forme mais en porte déjà l’intention.

Et ça nous parle. Parce qu’on ne prétend pas tout révolutionner. On démarre petit, mais avec du sens.

Avec l’idée qu’un bon repas, bien fait, peut changer une journée.